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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 19:07

                 Uno remarco forço interessanto de Christian Huber

 

 

Des générations d’Alsaciens l’avaient remarqué mais Michel-Paul Urban est le premier à en proposer une explication.



En Alsace, il y a le pays des heim et celui des autres : schématiquement, les noms de communes composés du suffixe -heim se concentrent essentiellement dans l’est, dans la plaine, appuyés le long du Rhin ; au nord, à l’ouest et au sud, les toponymes se terminent plutôt par des suffixes tels que -willer, -wihr, -bach ou -ingen.

 



Pourquoi ? Michel-Paul Urban apporte une réponse séduisante, qui portera peut-être à débat, dans sa Grande encyclopédie des lieux d’Alsace, publiée ces jours-ci (voir ci-dessous).

 



L’explication réside dans l’origine de ces suffixes : -heim est germanique (il signifie aujourd’hui chez-soi, domicile, foyer, habitation, et signifiait autrefois patrie d’une tribu) quand les autres sont prégermaniques ; les -willer et les -wihr, par exemple, viennent, comme ville en français, du latin villa (ferme, ensemble de fermes).

 



La carte des toponymes correspond alors, à en croire l’auteur, à celle de l’invasion de l’Alsace par les colons germaniques : la zone des -heim représenterait « les lieux gagnés par les Germains, notoirement les Alamans, sur les Gallo-Romains, et colonisés au cours des VI e et VII e siècles ». Les nouveaux venus ont renommé les sites qu’ils ont investis. Ainsi, Matzenheim s’était appelé Mazonivillare avant d’adopter définitivement le suffixe -heim.

 

 

 

 

   centre-ville-de-turckheim.jpg

 

 Türckheim, "lou fougau di Turcs", es uno de las primièros bourgados germanicos



Quant aux Gallo-Romains, ils seraient donc restés présents à l’ouest, au nord et au sud, et auraient résisté bien mieux qu’on a pu le dire à l’invasion d’outre-Rhin.

 



On imagine volontiers qu’entre ces autochtones gallo-romains et les colons germaniques, dans l’Alsace du VIII e, la situation était plutôt tendue.

 



Et Michel-Paul Urban le confirme, là encore, en étudiant la carte des suffixes : il fait remarquer que des communes en -dorf sont concentrées dans des « zones de transition » entre les deux aires, surtout au nord et au sud de la zone en -heim, dans le pays de Hanau et le Haut-Sundgau. 

 

 

    centre-ville-de-riquewihr-jpg

 

Reichenweiher / Riquewihr, lou vilatge alsacian que fouguè lou vilatge lou mai jinte de Franço, sario estat germanisat mai tard.

 



Or, si Dorf signifie aujourd’hui village en allemand, son origine (le francique thorp, qui a donné troupe) évoque plutôt la chose militaire. 

 



L’auteur estime donc que ces -dorf étaient « vraisemblablement des fermes fortifiées, abritant quelques hommes de troupe », et que celles-ci avaient un rôle pacificateur.

 


Car Charlemagne et ses successeurs se sont efforcés de concilier des cultures contraires : ils entendaient à la fois préserver les conquêtes territoriales germaniques et promouvoir l’héritage latin et chrétien issu du monde gallo-romain. Ces -dorf auraient donc été créés pour « faire tampon » entre les deux communautés, là où les oppositions étaient les plus marquées.

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22 août 2013 4 22 /08 /août /2013 14:05

                                       per Felibre d'Auvernho

 

Veguèri un cop un filme fantastique atroce que d'efonts blounds e gracious que parlavou pas envazissiou lou mounde. Se sabio pas d'ounde veniou, s'èrou d'estra-terrèstre ou de moustres sourtits d'uno esperienço. L'ourrour èro la diferéncio entre lour aparéncio atendrissento e lour cruzeltat.

 

 

Vous presintan eici dous moustrous, Hitler e Lenino quand aviou tres ons. Pareissou braves, mas s'on lis avio negats coumo de chatous i ourio agut plô min de morts e de patimens dien lou moude.


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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 18:13

relisons ce qu'il écrit le 1er mars 1865 à Bonaparte Wyse :

 

 

.... Vous jugez excellente la poésie catalane actuelle. Elle s'inspire trop des vieilles idées et d'archéologie nationale. Elle ne vit pas assez dans son siècle et se tient trop en dehors de la vraie nature et du peuple moderne.



(…)Si le cœur de nos vaillants amis avaient battu a l'unisson du mien sur la question provençale, nous aurions accompli peut-être quelque chose... Nous aurions préparé, accéléré le mouvement fédératif, qui est dans l'avenir. Non pas que j'ai l'idée niaise de rêver une séparation de la France. Les temps futurs sont à l'union et non à la séparation. Mais aussi et surtout, ils sont à la liberté, à la liberté des races, des cités, des individus, dans l'harmonie...



N'est-il pas évident, pour tous ceux qui réfléchissent, que l'Europe, même en conservant ses rois et ducs et empereurs, court à l'union républicaine? Si, au conseil des amphictyons européens, la France était représentée par 30, la Provence, le Midi, qui forme le tiers ou le quart de ces 30 unités, aurait donc 10 voix ou 7 voix au chapitre. Et voilà tout.



Mais les félibres se moquent de cela comme de l'an quarante. Seulement comme rien d'inutile ne se produit en ce monde, je suis convaincu qu'a un moment donné de cette semaille littéraire et linguistique naîtra quelque homme de génie pour en tirer parti. La terre des Mirabeau, des Thiers. des Garibaldi, ne jettera pas toujours au service de ses voisins la sève géniale de ses fils. Amen! (1)

 

 

                            drapeau-provencal.jpg

 

 

(1) Lettre publiée par.M. Jules Charles-Roux (Provençal de Paris, 17 novembre 1912). Il faut ajouter que la plupart des lettres ou documents qui ont éclairé le côté politique de la vie de Mistral sont sortis des Archives Iconographiques du Palais du Roure fondées par M. Jules Charles Roux et perpétuées avec un culte admirable par Mme Jeanne de Flandresy.

 

 

Remarcan la fourmulo la Provence, le Midi, qui forme le tiers ou le quart qu'endico que Prouvènço pot voulé dire tout lou Païs d'Oc per Mistral.

 

                                         fprave1.gif

                       

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11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 18:24

                                            par Alain Broc


Troubado en Ourgoun al sègle Dez-o-nau, la pèiro es al musèu Calvet d'Avinhoun, aquelo pèiro gravado en lengo galeso hou fouguè per un cieutadan de Nimes.


           orgon.jpg


ΟΥΗΒΡΟΥΜΑΡΟC

 
ΔΕΔΕ ΤΑΡΑΝΟΟΥ

 
ΒΡΑTΟΥΔΕΚAΝΤΕΜ

 

Ouebroumaros dede Taranoou bratoudekantem

Ouêbroumaros a offert à Taranos en gratitude la dime (per merceja d'un vot realisat)

 



Aquelo referéncio à moun char dieu Taran me fai be plazi.

Remarcat qu'en letros grècos noùstis aujòus escrivou OU per "ou" voucalo e per "w". 

 

 

                 vaison.gif

 

Aquelo d'ati, la troubèrou à Veisoun à la fi del sègle Dez-o-nau. Es gravado també per un "cieutadan nemesin" coumo dis guel-mèmo :


σεγομαρος ουιλλονεος τοουτιους ναμαυσατις ειωρου βηλησαμι σοσιν νεμητον

 


en letros latinos :


"Segomàros Ouilloneos tooutios Namausatis eiòrou Belissami sòssin neméton."



ço que vòu dire :

Segomàros, filh de Ouillonéos, cieut
adan nemesin, o dedicat à Belissàma aquel santuàri.


(De sigur, pei celtis
ants "Segomaros vòu dire "grond per si victòrios"

m
aros = bèl

 sego = victòrio, forço.)




Sufis d'
apoundre qu'Arle es un noum galés :


are = à l'èst, davont, à coustat   late = las palus


e dounc Arle = (la vilo) à l'èst de las palus 
 

 

e vezen be que l'Istòrio es inquèro mai defourmado per li gestapoccitans qu'hou fouguè per Jùli Ferry !

 

 




 

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20 juillet 2013 6 20 /07 /juillet /2013 16:37

Pareguè dien si "Contes du lundi" que pareissiou cado dilun dien lou suplement literàri del Figarò qu'èro també un journau literàri à l'epoco.


Alphonse Daudet raconte l'histoire d'un Algérien "qui avait participé pied à pied à tous les combats de Wissembourg à Paris."


Bien sûr, il défend Paris lors du siège. Ensuite il participe à la Commune sans le savoir (il parle trop peu français pour comprendre). Il croit toujours combattre les Prussiens.

 


Quand les troupes versaillaises entrent dans Paris lors de la semaine sanglante "la barricade se tut. Le dernier artilleur venait de s'enfuir en lâchant sa dernière volée. Le turco, lui, ne bougea pas. Embusqué, prêt à bondir, il ajusta solidement sa baïonnette et attendit les casques à pointes.

 

Óugis d'ordre en francés; crèi qu'acò'i l'armado de Lèire - qu'es pas jamai arribado - e sourtis de sa barricado ple de gaud "Bono, bono, Francèse :"

 



D audet countùnio : " Vaguement il se figurait que c'était là  cette armée de délivrance, Faidherbe ou Chanzy, que les Parisiens attendaient depuis si longtemps. Aussi comme il était heureux, comme il leur riait de toutes ses dents blanches !... 


En un clin d'oeil, l
a barricade fut envahie. On l'entoure, on le bouscule.
"Fais voir ton fusil."

Son fusil était encore chaud.
 

"Fais voir tes mains."

 

Ses mains étaient noires de poudre. Et le turco les montraient fièrement, toujours avec son bon rire. Alors on le pousse contre un mur, et ran !..

Il est mort sans y avoir rien compris."

 

 

Cette histoire a sûrement été inspirée à Daudet par l'héroïsme d'un autre "turco", Ahmed ben Kacy, retranché seul dans une maison qu'il défendit pendant presque toute une journée avant de se faire tuer. Acò se passavo lou 28 de nouvembre de 1870.




A Juranville, dien lou Loiret, l'oust
au porto toujour uno placo per coumemoura soun erouïsme. 



                                    Image-JPG--374.jpg 

 

 

 

Daudet faguè partido di Franc-Tiradours qu'empachèrou li Prussians de prendre Paris.


Les Franc-Tireurs étaient des corps de combattants créés par Napoléon III.


Aviou pas tirat un "meissont numerot" e faziou pas lou servìci de sèt ons, ou èrou trop vièlhs, mas èrou patriotos.


Donc l'Empereur leur fit distribuer des fusils et une cape militaire - uniforme sommaire destiné à en faire des troupes régulières même si elles étaient indépendantes du commandement militaire.


Chaque département avait les siens avec des numéros de régiments de Franc-Tireurs marqués sur la casquette, en général un numéro par canton.



Dans la pratique c'étaient des groupes de copains qui harcelaient les troupes allemandes en zones occupées. Non reconnus comme combattants réguliers par les Prussiens ils étaient fusillés quand ils étaient pris. Il faut reconnaître que ceux qui ont combattu en zones occupées ont eu peu de succès en génér
al et ont donné prétexte à répression. 



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      Image-JPG--375.jpg

            Lou bourguinhou Léon Vigneron, fusilh
at per li prussians

 

                       LI FRANC-TIRADOURS DE PARIS



Ceux de Paris en revanche ont été très efficaces et ont été un complément très utile à l'armée.

En effet, un soldat qui fait une veille de nuit après une journée de combat ou de corvées stupides, n'est pas très en forme le lendemain quand les Prussiens attaquent. Le moral des soldats peut baisser.

L'avantage des Francs-Tireurs est qu'ils se battaient quand ils le voulaient, rentraient le soir dans leurs familles et avaient donc bon moral et bon repos, relativement.

Leur enthousiasme les a amenés à faire des sorties jusqu'à Bougival et Argenteuil, sorties qui auraient été irresponsables de la part de l'Armée proprement dite car elles auraient laissé la Capitale sans défense.


Evidemment ils soutenaient les actions de la ligne tant en défense qu'en attaque, avec cette indépendance de commandement qui faisait que les Prussiens ne savaient jamais par où ils allaient passer, d'autant que les officiers français ne le savaient pas eux-mêmes.



Rapides à mobiliser ils ont plusieurs fois tiré d'affaire des régiments mis en difficultés sans compter leurs propres pertes.



Beaucoup d'entre eux seront communards plus tard, plus par patriotisme que par socialisme. 


Alphonse Daudet lui-même aura de la sympathie pour la Commune à cause de cette camaraderie d'armes - sans y participer, pour lui il était évident de tirer sur des Prussiens, pas sur des Français - mais dans ses nouvelles à succès il ne cessera de plaider l'indulgence pour les "communards honnêtes et patriotes trompés par leurs chefs".



Lou primier resistent de Fr
anço en 1940, lou coumandant ou courounèl Guingouin coumo se dis d'uèi - guel se presintavo coumo "le préfet du maquis" reprenguè la fourmulo "Franc-Tiradours" per desinha sis omes, en oumenatge i Franc-Tiradours de la guerro de setanto ounde soun paire, voulountàri de l'armado de Lèire, èro estat tuat.


vèire nouste lig
am :

http://mistralenc.over-blog.com/article-la-filho-de-guingouin-fo-visita-lou-lemouzi-resistent-80844553.html 


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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 17:57

Le 19 juillet 1870, les républicains exigent la guerre contre la Prusse !!!


Lou Dez-o-nau de julhet de 1870 la Franço declarè la guerro à la Prùssio.

Napouleoun III, qu'èro sàbi e pacifique, voulio pas d'aquelo aventuro.


                       doc-296.jpg



Mas avio liberalisat l'Impèri e li republicans, presents al gouvernoment e noumbrous à la Chambro di deputats, la vouliou à toutos forços



Daprès, reprouchèrou à l'Imperadour lour pròpio errour !



La Tresenco Republico nasquè dien la vergounho e la messourgo.



Mouriguè tant piètromen coumo avio viscut.





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Lettre d'Alphonse Daudet à Frédéric Mistral, envoyée par ballon depuis Paris assiégé.

Paris, 31 de desèmbre 1870


Moun capoulié, te mande pèr lou baloun mounta, uno grosso poutounado e me fai plasé de pousqué te la manda en lengo prouvençalo: coume acò siéu assegura que li Barbare, se 'n cop lou baloun ié toumbo dins li man, pourran pas legi moun escrituro e publica ma letro dins lou Mercùri de Souabo.


Fai fre, fai negre; manjan de chivau, de cat, de camèu, d'ipoupoutame (ah! s'avian li bòni cebo, lou catigot e lou cachat de la Riboto de Trenco-taio !). Li fusiéu vous brulon li det. Lou bos se fai rare.

Lis armados de la Lèiro vènon pas... Mai fai rèn! Li babaroto de Berlin s'enmascaran encaro quauque tèms davans li bàrri de Paris... E pièi, se Paris es perdu, counouisse quàuqui bon patrioto que faran vèire de camin à moussu Bismarck dins li pichóuni carriero de nosto pauro Capitalo.


Adiéu, moun capoulié, tres gros poutoun: un pèr iéu, l'autre pèr ma femo, lou darrié pèr moun drole... E' m' acò bono annado, e longo-mai, de vuei à-n-un an !



                                               Toun felibre

  

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 21:25

Sou de l'atge del brouze e sou dounc be arcaïcos, mas aun ja la formos e la loungour dis espasos galesos que farau en ferre quauques sègles daprès. Aquessos d'ati venou de la tribu dis Elvetos.

 

 

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 22:23

                                                per Alan Broc

 

 

Je ne suis pas d'accord avec ceux qui prétendent que César aurait "inventé" la Gaule comme la France colonialiste a inventé l'Algérie. Même s'il y avait des différences de dialectes entre Gaulois il y a une langue assez bien définie et surtout une conscience de leurs frontières.


BITUO veut dire "le milieu", parfois "le monde" en ce qu'il est entre le ciel et les enfers, mais uniquement en ce sens.


Il en résulte que la traduction de "BITURIGES" par "rois du monde" que je trouve souvent dans les livres est inexacte. Les BITURIGES sont les "rois du milieu" (de la Gaule). La forêt des Carnutes était à leur frontière chez leurs vassaux, où les druides de toute la Gaule se réunissaient une fois par an, preuve de la conscience d'un destin commun.


Ce qui est certain c'est qu'il y avait des Celtes en dehors de cette Gaule consciente d'elle-même. Mais pour les Gaulois du premier siècle avant le Christ par exemple, il est évident que les Galates ne sont plus leurs compatriotes. (Après tout, les Macédoniens de Philippe de Macédoine parlaient grec mais les Grecs les considéraient comme étrangers).


Noutession al passatge que Cesar dis que noùstis aujòus se sounavou Celti en letros latinos e Kelti
en letros grècos (Keltoi, fin lou sègle Tres abons JC). Dis atabé que lou mot Galés es un mot gregau, v
arianto del mot Galatos. N'en resulto que diziou proubablomen pas la Gàlio mas Celtia / Κέλτια.


Pour les Celtes hors de cette patrie gauloise consciente d'elle-même, ma grande interrogation est de savoir s'il y en avait en Germanie à l'époque de César et Vercingétorix. Pourquoi les chefs germaniques ARIOUISTO, ARIOMANO, ARIOGAISO et ARIOBINDO avaient-ils des noms gaulois ?


Est-il possible que des Celtes hors des frontières de la patrie gauloise avec son centre dans la forêt des Carnutes aient été considérés comme des compatriotes par les Germains ?


Si on prend cette hypothèse, l'adjectif ARIOS = senhour, ome libre se comprend bien car les Germains réduisaient leurs prisonniers plus souvent en esclavage que les Gaulois, qui les tuaient le plus souvent.


Or les prisonniers des Germains étaient des Germains d'autres tribus ou des Gaulois, d'où l'utilité pour des Celtes du monde germanique de souligner leur statut d'hommes libres et seigneurs d'un territoire.


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8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 21:17

Lei fotòs sou estados rapugados per Fred Martin. (pas la darrièro çaquedelai)

Li coumentàris sou de Felibre d'Auvernho. (la darrièro fotò també)

 

 

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Li Galés aviou la moustacho mai courto que dien las pinturos del sègle Dez-o-nau. Li "barbares" se penchinavou e se talhavou la moustacho... coumo nàutri.



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TURCOS en galés, un singlar en ouvernhat (porcus singularis en lati, cò'i dire particulier)

 

 

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Un casque forço elegant qu'empacho li "cops de pico", li gronds cops de coustat, en proutegissent li timples.

 

 

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Aquel escut galés es min impressiounant que l'escut celtibère de l'aute jour, mas es mai precious.

 

 

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La tèsto d'un enemic vençut, tengudo per la mô 'squerro dicistont que la drèito té inquèro l'espaso.

 

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Li Galés se penchinavou e se talhavou la moustacho, amai prendiou suènh de lours fennos, ... coumo nàutri finalomen.


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De sigur, per countenta lei fennos, chalio ja doubri lou porto-mounedo.
Quand èri al licèu li lhibres de lati presintavou aquel proufil coumo lou de Vercingetouris. UER = superiour RIX = rèi CINGETOS = guerrier à chaval.

UERCINGETORIX = supèr rèi di cavaliers.

 

 

      1016545_477781005643081_850002798_n--1-.jpg 

 

Uno Galeso de uèi. Se remarco que porto la cinto roùjio per marca que fo partido de la noublesso. Se remarco també que coumo sis aujolos s'es boutado uno mesclanho de liquide e de plantos per avèdre una coulour de piaus mai claro.

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7 juillet 2013 7 07 /07 /juillet /2013 14:09

                                        per Felibre d'Auvernho

 

 

Vai t'en sabér coumo arribè alai. Me dirés qu'avan be al Louvre d'estatùios grècos.


                    1044563_533502330019738_772603640_n.jpg 

 

Ourio pas pensat que lou torque èro tont tipicomen arverne mas li saberuts de Prago sabou mièl que iéu.

Tout ço que podi dire es que l'ome o be lou nas ouvernhat. 

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Presintaciou

  • : Mistralenc, blog en lengo d ' oc
  • : Le blog Mistralenc est la suite du groupe "Info d'oc" mais un blog offre plus de possibilités, notamment d'illustrations.La pratique de Info d'oc a amené à rajouter une rubrique "actualitat" car les abonnés prenaient plaisir à commenter en langue d'oc les sujets chauds.Amm' acò dounc Mistralenc es coumo Info d'oc un endrèit ounde li gents prendou plazi de charra en lengo d'oc.Es animat per li felibres de "La Coumpanhio mistralenco".
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Uno citaciou d'un arabe cristiô

« So que retrazi d’uèi al mounde arabe, acò’i l’indigenço de sa counsciéncio mouralo, ço que retrazi à l’Oucident, acò’i sa proupensiou à muda sa counsciéncio mouralo en esplecho de douminaciou. »

 

                                                                                     Amin Ma'alouf

Uno citaciou inteligento

La monarchie, dans notre pays, est franque, elle n'est pas gauloise.

 

                  (Proudhon)

Henri Doniol

Les patois de la Basse-Auvergne, 1878

 

Pagino 20

 

« Si l’accentuation, qui est la prosodie de chaque langue, constitue un signe de race,  la race appartient au patois de la haute Auvergne ; dans ce cas le brivadois est en basse Auvergne le moins éloigné du parler d’autrefois, car il suffit d’ajouter peu de chose à sa prononciation pour le rendre identique au patois cantalien. »