Dissate passat nous diziou dien Le Figaro que "li rebèls aun pres Zawiya que bloco la fugido del courounèl Qaddàfi vers la Tunisio".
Passessan soubre lou fait que Qaddàfi vòu jis fugi, e soubretout pas en Tunisio ounde lis islamistos loucaus lou boutariou en presou.
Lou dimmèrgue finalomen "Le Point" dizio que "li rebèls sou dintrat dienc uno bourgado de Zawiya" mas "que podou pas avança".
Arsiro inquèro la televisto nous anounciabo que li rebèls aviou pres una vilo, e leissabo la paraulo à sa courrespoundento Martine de la Roche-Joubert, que nous presintabo la dintrado d'una vilo ounde li rebèls èrou bloucats per de "snipers", chau entendre, de souldats de l'armado regulièro libiano.
Vaqui un article que presinto plô lou fenoumene.
http://www.lepost.fr/article/2011/08/20/2571984_libye-plus-fort-que-les-rebelles-tu-meurs.html
Plus fort que les rebelles libyens, tu meurs,
par Allain Jules
Le territoire contrôlé par Mouammar Kadhafi s’est réduit considérablement au cours des trois dernières semaines. Les rebelles avancent vers la capitale, Tripoli, à partir de l’ouest, du sud et de l’est. Abdessalem Jalloud, ancien n°2 déchu du régime Kadhafi a rejoint ces derniers.
Ils sont victorieux sur tous les fronts. Dans la nuit, ils ont encore fait une annonce: le port de Brega est sous leur contrôle et la ville de Zahouïa est tombée dans leur escarcelle. Demain, ils seront dans la lune. C’est certain. Diantre.
Le posteur Setamir a bien résumé la situation réelle du terrain. J’ai aussi lu ici ou là, pas dans les médias « meanstream », la vérité. Et, avec mes contacts sur place, les faits sont réels. Ils ne prennent aucune ville dans le sens de « conquête » suite à une bataille.
Cela se passe comme suit :
1 – L’Otan effectue une 1ère opération en bombardant les positions des forces gouvernementales libyennes.
2 – Ces dernières « disparaissent » selon une stratégie ou tactique qu’ils ne veulent pas révéler ; ce qui est normal.
3 – Les insurgés ou ‘rats’, comme les nomme les Libyens, se faufilent par petits groupes dans les faubourgs de ces villes. Le tout ne dépasse guère 50 à 100 éléments. Ils tirent tout azimut afin de « terroriser » la population ne sachant pas que cette dernière est majoritairement armée et organisée.
4 – Ils filment rapidement et envoient l’information qu’il s’agit d’une reprise de la ville.
5 – Les forces gouvernementales les encerclent en les coupant de toute aide extérieure et laissent les citoyens armés faire le « travail » de « dératisation » en leur donnant bien sûr un coup de main.
6 – Les bombardements cessent juste après, l’Otan ne sachant plus sur qui tirer.
7 – Ils ne leur reste alors que le suicide ou la reddition ( ce dernier cas est le plus fréquent ). Situation qui ne dure pas 2/3 jours.
Les ‘insurgés’ se font avoir ainsi pour toutes les villes et villages que les médias de l’Otan annoncent comme avancée ou victoire. Aujourd’hui et demain, quelle sera la nouvelle prise et/ou annonce ? Wait and see !
Amm' acò Tripòli es toujour liéuro e Qaddàfi l'i demoro
Apoundou :
Per ilustra nouste article, vaqui aquelo nouvèlo de TF1, qu'es pas pro-libian :
Les rebelles libyens ont dû se retirer samedi de la zone industrielle de Brega (est) en raison d'intenses bombardements des forces pro-Kadhafi, a annoncé samedi après-midi le porte-parole militaire de la rébellion, le colonel Ahmed Omar Bani. Plus tôt dans la journée, les rebelles avaient affirmé s'être emparés dans la nuit de cette zone industrielle, et avoir pris ainsi le contrôle de toute la cité pétrolière de Brega, poste avancé de l'armée gouvernementale dans l'Est depuis avril.
Un article mai realisto de la premso guymollèsco :
Libye : Six mois de bombardements… et une confusion totale
Alors que la guerre en Libye s’enlise, les doutes se multiplient sur l’issue du conflit.
Ce devait être une guerre éclair. Le régime du colonel Kadhafi devait tomber en quelques jours, comme un fruit pourri. Et la population libyenne allait forcément se soulever en masse contre le dictateur… Hélas ! malgré six mois de bombardements intensifs, rien de tout cela ne s’est produit. Cette guerre, qui coûte chaque jour un million et demi d’euros à la France, n’a pas atteint ses objectifs. D’où cette question : les Occidentaux ne se sont-ils pas lancés trop vite dans cette guerre, sur la base d’informations erronées ?
Exemple : pour obtenir l’intervention étrangère, la rébellion a fait état de « milliers de morts », sous les balles de l’armée de Kadhafi. Aujourd’hui, la plupart des observateurs estiment que ces chiffres ont été gonflés. Des médecins occidentaux, présents en Libye, avaient très tôt mis en doute ces bilans, indiquant qu’il y avait très peu de blessés dans les hôpitaux. Ces allégations ont pourtant justifié en partie l’intervention des Occidentaux.
Autre exemple : le Conseil national de transition (CNT), ce gouvernement provisoire opposé à Mouammar Kadhafi, reconnu par 30 nations dont la France, a exhibé, dès le début du conflit, des « mercenaires africains à la solde de Kadhafi ». D’après le CNT, ces mercenaires avaient perpétré des actes atroces contre la population. Cet argument a lui aussi pesé dans la décision occidentale d’intervenir en Libye « pour éviter un massacre de civils ». Or Amnesty international a révélé que ces mercenaires supposés étaient en réalité de simples travailleurs émigrés.
Pour renforcer les doutes, voilà que des dissensions, parfois violentes, apparaissent au sein du CNT. D’où l’interrogation de ce diplomate occidental : « Certes, le départ de Kadhafi est souhaitable. Mais s’il tombe, qui prendra le pouvoir en Libye ? Les démocrates ou les islamistes ? Personne ne le sait ! »
Résultat : les dirigeants de la coalition ne réclament plus, comme préalable à l’arrêt des bombardements, le départ de Libye de Kadhafi : « Il peut rester dans son pays, mais il faut qu’il abandonne le pouvoir », dit en substance Alain Juppé, notre ministre des Affaires étrangères.
Amai recouneissou qu'aun perdut la guerro :
Difficulté inattendue pour parvenir à une solution négociée, selon un diplomate : « L’intervention occidentale, parce qu’elle a échoué jusqu’à présent, a renforcé le colonel Kadhafi. Un moment affaibli, le voilà à nouveau inflexible. Contrairement aux plans de l’Otan, il ne pourra pas être complètement exclu de la négociation. »